The Orchestral Qawwali Project, un spectacle total à la Salle Pleyel

The Orchestral Qawwali à la Salle Pleyel le 28 janvier 2026 !

The Orchestral Qawwali Project, une rencontre saisissante entre la tradition spirituelle du qawwali et la richesse symphonique occidentale. A retrouver pour une date unique à réserver à la Salle Pleyel à Paris le 28 janvier 2026.

The Orchestral Qawwali à la Salle Pleyel le 28 janvier 2026 !
The Orchestral Qawwali à la Salle Pleyel le 28 janvier 2026 !

The Orchestral Qawwali Project propose une exploration audacieuse de la spiritualité et de l’universalité musicale, entre tradition et modernité. Le public est invité à vivre une soirée exceptionnelle, un voyage sensoriel et spirituel où la puissance des voix et la beauté orchestrale se rejoignent pour ne faire qu’un.

La Salle Pleyel accueillera le mercredi 28 janvier 2026 un événement musical d’exception : The Orchestral Qawwali Project, une rencontre saisissante entre la tradition spirituelle du qawwali et la richesse symphonique occidentale.

Quand la ferveur du qawwali rencontre la majesté de l’orchestre, naît une émotion rare.

La formation transcende les frontières entre Orient et Occident pour offrir une expérience musicale à la fois mystique, vibrante et universelle.

Ce concert inédit réunit sur scène des chanteurs et musiciens virtuoses du sous-continent indien et d’Europe pour une expérience sonore et émotionnelle unique. Le projet revisite le répertoire du qawwali – ces chants soufis empreints de ferveur et de dévotion – à travers des orchestrations majestueuses où se mêlent harmonium, tablas, percussions et un orchestre complet.

Portée par des voix habitées, par les percussions du tabla et les harmonies du harmonium, la musique s’élève, s’amplifie, s’ouvre à l’infini sous l’élan d’un orchestre symphonique éclatant. Chaque note devient prière, chaque souffle un élan d’âme.

Ce projet unique réunit sur scène des musiciens issus de traditions différentes, unis par le même désir : faire dialoguer les cultures et éveiller les consciences par la beauté du son. Entre recueillement et exaltation, The Orchestral Qawwali Project promet une soirée de communion musicale et d’intense émotion.

🎟️ Informations pratiques
📅 Date : Mercredi 28 janvier 2026 – 20h00
📍 Lieu : Salle Pleyel – 252 rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris 8e
🎫 Billetterie : www.sallepleyel.com

Site officiel

La « Bourée » de Jethro Tull : Bach revisité façon rock

Bourée : Une mélodie qui traverse les générations

À ma grande surprise, ma petite fille de quatre ans et demi s’est mise à fredonner un air bien connu. J’ai vite compris qu’elle l’avait sûrement entendu de ma bouche, sifflé ou chanté sans y penser. Cet air, c’était la « Bourée » de Jethro Tull, l’une de ces mélodies qui traversent le temps et s’impriment naturellement dans l’oreille, même chez les plus jeunes.

Bourée de l'album Stand-Up

1969 : la rencontre entre Bach et le rock progressif

Nous sommes en 1969. Jethro Tull sort son deuxième album, Stand Up, et y glisse une reprise inattendue : la Bourrée en mi mineur de Bach, extraite de la Suite pour luth BWV 996. Mais plutôt qu’une simple interprétation classique, Ian Anderson et son groupe la transforment en une pièce unique, hybride, où la flûte traversière dialogue avec une basse bondissante et une batterie énergique. On part du thème original de Bach, puis la musique bascule vers le jazz, le swing, et un rock progressif inventif.

Une signature musicale audacieuse

Ce morceau devient rapidement un symbole de leur identité : un mélange audacieux de traditions et de modernité, capable de séduire à la fois les amateurs de musique savante et ceux de rock électrique. En France, cette « Bourée » joue même un rôle essentiel : elle est le titre qui fait découvrir Jethro Tull au grand public à la toute fin des années soixante.

Bourée ou Bourrée : Une orthographe qui interpelle

Reste cette petite curiosité : pourquoi l’avoir intitulée « Bourée » avec un seul « r » ? Tout porte à croire qu’Ian Anderson a volontairement simplifié le mot. Peut-être par choix esthétique, pour donner un aspect plus direct, plus percutant. Ou encore pour marquer une différence claire avec l’original de Bach : ce n’est plus seulement une transcription, mais bien une réinterprétation personnelle, une réinvention qui porte la griffe de Jethro Tull.

Bourée : Un héritage intemporel

Aujourd’hui encore, plus d’un demi-siècle plus tard, cette version conserve une fraîcheur incroyable. Elle montre à quel point une mélodie baroque peut être intemporelle, se prêter aux réinventions les plus audacieuses… et même se faire fredonner innocemment par une petite fille, preuve vivante que la musique n’a pas d’âge.

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Je dédie cet article à ma petite Ambre adorée🥰♥️