AJIMSA dévoile le clip de “Quatre Accords”

Ajimsa

Le groupe AJIMSA présente le clip de “Quatre Accords”, leur nouveau single sorti le 13 juin dernier. Ce morceau, inspiré de l’œuvre Les Quatre Accords Toltèques de Don Miguel Ruiz, puise dans la sagesse millénaire du peuple toltèque pour nous offrir une véritable invitation au changement intérieur. « Quatre Accords » est un chemin, un souffle, une méditation mise en musique.

À travers ce titre, AJIMSA poursuit son exploration des liens profonds entre spiritualité, culture et engagement. Le groupe nous rappelle que les grands bouleversements ne commencent pas à l’extérieur mais en nous-mêmes. Les quatre accords — « Que ta parole soit impeccable », « Quoi qu’il arrive, n’en fais pas une affaire personnelle », « Ne fais pas de suppositions », « Fais toujours de ton mieux » — sont ici traduits en son, en image, en vibration. Ils deviennent chant, rythme et élan collectif.

Fidèle à sa démarche musicale pluriculturelle, AJIMSA puise son inspiration dans un large éventail de traditions : du folklore mexicain au Gnawa maghrébin, en passant par la chaleur des percussions latines, le tout porté par une structure rock subtile et contemporaine. Cette fusion donne naissance à un univers sonore organique, libre, traversé par le souffle des Andes et les battements du monde.

Le clip, à la fois poétique et sensoriel, prolonge cette quête intérieure par des images qui parlent à l’âme: des symboles de transformation, des éléments naturels, des visages ancrés dans l’instant. Il ne s’agit pas simplement d’illustrer la musique, mais de dialoguer avec elle, de la prolonger dans une narration visuelle contemplative.

“Quatre Accords” marque la première étape vers un nouveau projet d’envergure : Rayün, le prochain EP du groupe, prévu pour l’automne 2025. Le mot “Rayün” signifie “fleurir” en mapuzungun, langue du peuple Mapuche du Chili et d’Argentine. Ce titre, profondément symbolique, reflète l’intention du groupe : inviter à la régénération, à la croissance personnelle et collective, à un renouveau lucide et sensible.

Le groupe sera en concert cet été :

📍 4 juillet : La Fabrique des Colibris – Mauvezin (32)
📍 14 juillet : Festival Danses et Musiques du Monde – Airvault (79)
📍 2 août : Le Poulpe du Lac – Sainte-Croix Volvestre (09)

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Wassim Soubra rassemble Orient et Occident avec le superbe album Il Vento

Wassim Soubra rassemble Orient et Occident avec le superbe album Il Vento qui sort le 13 juin 2025, à la croisée entre jazz, classique et musique du monde.

Wassim Soubra rassemble Orient et Occident avec le superbe album Il Vento
Wassim Soubra rassemble Orient et Occident avec le superbe album Il Vento

Wassim Soubra est un compositeur rare, car, si l’on ne dit pas de bêtise, Il Vento qui sort le 13 juin 2025 est son troisième album. Ce compositeur libanais installé depuis des années à Paris a été marqué par Bach, avant de développer son propre langage : lumineux, spirituel, et l’on a envie de dire, philosophique.

Au fil des créations, ce musicien se consacre à la composition d’œuvres originales inspirées de la musique classique occidentale et de la musique traditionnelle orientale. « J’emploie les règles de la composition occidentale pour raconter une histoire orientale : une histoire chargée d’un vocabulaire oriental qui correspond à ce que j’ai vécu au Liban. J’écris avec une grammaire que j’ai appris à maîtriser, celle de la musique classique – les harmonies, le contrepoint – et les sons de mon enfance. On peut dire de ma musique qu’elle a été façonnée par les événements. J’ai pris une part relative dans les choix qui ont abouti à cette musique : je suis une sorte de produit historico-géographico-culturel. »

Découvrez en extrait le splendide et apaisant Alizé :

Ses compositions, marquées par un dialogue subtil entre Orient et Occident, se distinguent par leur richesse narrative et leur pluralité culturelle. Il compose pour le piano solo, des trios, des quatuors et des quintettes, mais aussi pour des œuvres plus vastes comme des opéras et des oratorios. Il utilise la grammaire musicale classique pour tisser des récits ancrés dans la mythologie, l’histoire et son vécu personnel.

« Cette fois, j’ai choisi d’évoquer le vent, on ne sait pas d’où il vient, on ne sait pas où il va. Mais si on l’écoute, on reçoit beaucoup d’informations » Wassim Soubra

Sur le nouvel album Il Vento, le piano de Wassim Soubra dialogue avec le violoncelle de Julie Sevilla-Fraysse, la flûte d’Henri Tournier et l’oud  de Khaled Al-Jaramani.
Wassim Soubra @Edouard Brane
Wassim Soubra @Edouard Brane