Grant Haua bluesman Maori – Néo-Zélandais

Grant-Haua bluesman néo-zélandais

Grant Haua bluesman Maori - Néo-Zélandais - MazikGrant Haua est un auteur, compositeur, interprète, musicien et bien sûr rugbyman étant originaire des terres des All-Blacks ! Son histoire singulière vous emporte dans sa culture Maori, aux sommets du rugby néo-zélandais et dans sa passion pour le Bues. La sortie de son nouvel album » Awa Blues est annoncée pour le 19 février 2021 chez sur Dixiefrog / Pias mais vous pouvez le découvrir en avant première sur Mazik dès aujourd’hui…

Grant Haua en bref

Les multiples talents de cet artiste ne sont pas ordinaires car Grant Haua possède tous les dons. Un timbre de voix chaud et puissant, une technique de
guitare stupéfiante, une facilité mélodique qui interpelle, une histoire singulière entre celle de sa culture Maori et sa passion pour le Blues.

Sa musique s’inscrit d’un certaine évidence dans un univers rappelant John Hiatt ou Sonny Landreth. Lui-même se définit ainsi « Je suis juste un mec avec sa guitare. Il faut raconter l’histoire sans passer par quatre chemins.« 

Il se met à la guitare dès l’âge de 13 ans pour séduire les filles en imitant son grand frère mais sans toutefois rencontrer le même succès que lui. En revanche il persévère en jouant de la guitare mais comme la Nouvelle Zélande est pays relativement petit dans lequel il est difficile de se mesurer aux autres pour savoir si on est vraiment bon ou pas, Grant Haua décide de s’affronter au Monde au-delà de océans. Depuis 10 ans, il se produit en spectacle et apprécie de côtoyer des milliers de personnes, de sentir la foule prendre du bon temps et c’est là sa véritable récompense.

Knucklehead son premier album solo sorti en 2011 reçoit de bonnes critiques dans le plus grand magazine de musique néo- zélandais NZ Musician ce qui contribue à faire décoller sa carrière.

Par la suite il rencontre le batteur Michael Barker (Neil Finn, John Butler Trio) avec lequel il forme le groupe de blues rock néo-zélandais Swamp Things qui compose, enregistre quatre albums (Balladeer en 2011, Primordium en 2013, Let’s Get Live en 2015, Rumors & Lies en 2017)  et tourne pendant près de huit ans. Michael Barker étant déjà bien introduit dans l’industrie du disque a bien aidé à faire avancer les choses à grand pas. Cela leur a ouvert les portes de nombreux festivals comme le Womad (NZ), le Womadelaide (Aus), le Woodford Folk Festival (Aus), le Bridgetown Blues (Aus) et l’Electric Avenue (NZ). Dès lors leur notoriété est devenue vraiment phénoménale.

En 2016 le duo est invité en Louisiane par la Baton Rouge Arts Society. C’est là que Grant Haua s’est vraiment affirmé en tant que musicien sur un pied d’égalité avec les Stars présentes dans la ville.

En janvier 2019, après de très nombreuses tournées en Australie et Nouvelle Zélande, Grant Haua décide de quitter Swamp Things pour se concentrer sur son projet solo.

Pour la création d’Awa Blues il souhaite conserver le coté roots, authentique, en ajoutant quelques instruments. Ses textes sont le reflet de sa vie.. Amoureux de littérature il aime manier les mots, les tordre, évoquer des sujets graves comme dans le titre « Addiction » où mêler des sujets plus légers ou traités avec humour comme dans « Tough love mama »…

« J’ai vécu des expériences tellement fortes enregistrant cet album : en chantant This Is The Place j’ai été complètement submergé par l’émotion » affirme-t-il . « Ca m’a littéralement happé ! J’ai eu des flashbacks de ma mère, de mes vieux amis d’enfance, de ma femme, mes enfants et mon père ! Bref tout le monde ! un moment très intense, on ne peut pas mentir avec ce genre de chose » poursuit Grant Haua.

Les musiciens avec lesquels il a travaillé sur l’enregistrement d’Awa Blues ont su parfaitement mettre cet univers et cet émotion en musique avec simplicité et authenticité à travers ses douze titres :

01 – Got Something If You Want It
02 – This Is The Place
03 – Be Yourself
04 – Tough Love Mumma
05 – Addiction
06 – Devil Is A Woman
07 – My Baby
08 – Mumma’s Boy
09 – Can’t Let It Go
10 – Better Day
11 – Keep On Smiling
12 – Might Have Been

Grant Haua ne souhaite qu’une chose : que ses chansons soient aussi satisfaisantes qu’un bon diner dominical fait maison, une nourriture simple mais délicieuse, « Une mélodie aussi bonne que de manger une huître directement dans sa coquille. Une guitare aussi formidable que de boire une grande bière bien fraîche lors une journée d’été !! » et que ses auditeurs se sentent comme chez eux,dans sa maison… Il conclue par « Bienvenue chez moi : Kia Ora koutou« .

Un album à consommer sans modération et surtout avec délectation ! C’est un coup de cœur Mazik 🙂

Line-up

Grant Haua : chant, guitare
Tim Julian : ingénierie du son, claviers, shakers (percussions type maracas et hochets), basse
Grant Bullot : harpe
Jesse Colbert : double basse

Discographie de Grant Haua

Solo
2011 – Knucklehead
2021 – Awa Blues

Avec Swamp Thing
2011 – Balladeer
2013 – Primordium
2015 – Let’s Get Live
2017 – Rumors & Lies

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Thomas Parth

Thomas Parth - MazikThomas Parth a contacté Mazik pour nous présenter son Ep intitulé « Dirty » un 4 titres totalement autoproduit sans aide de crowdfunding mais juste avec la sueur et les oreilles.

Il nous présente son travail comme un véritable hommage au rock des 90’s, à des groupes tels que Radiohead, Nirvana, Soundgarden, Pixies (entre autres) et qu’il a tenté de s’approcher de l’esprit des productions de Steve Albini c’est à dire inventives, intransigeantes, éthiques et caractérisées par une technique du son qui font de lui un musicien incontournable du rock indé.

Avec ce teasing notre curiosité a été mise en appétit et nous nous sommes précipités comme des morfalous sur le lien d’écoute… Je dois avouer que nous n’avons pas été déçus. 😉

Thomas Parth en bref

Thomas Parth - MazikThomas, dont le véritable nom est Parthonnaud, vit à Paris. Pour lui, faire de la musique, monter un groupe et sortir un disque est la concrétisation d’un rêve de gosse. Sa démarche 100% libre et autodidacte l’a conduit à produire cet EP de belle facture paru le 13 décembre 2020.

Il signe avec Dirty un hommage au rock des 90’s et ses ambiances lourdes, mélancoliques, nerveuses, aériennes et électriques. Biberonné par des groupes comme Radiohead, Soundgarden, Nirvana, Pixies, Sonic Youth entre autres, il nourrit aujourd’hui de ses propres mains et de sa propre voix ce rock qui l’a vu grandir.

L’EP Dirty qui comprend quatre titres (en anglais) a été réalisé, mixé, masterisé au Studio Panda Paris par Antony Soler.

1. Sweet Fever 03:28
2. Dirty 03:26
3. Time Has Stopped 04:36
4. Past 03:33

Toutes les compositions sont de Thomas Parth sauf « Time has stopped », morceau cosigné par Gilles Rosano.

Voici son clip, fait maison dans les mêmes conditions et la même ambiance que l’EP. L’utilisation du Vocodeur évoque le style de Steven Wilson. Montez le son et bonne écoute !

Ce n’est peut-être que le fruit du hasard (où pas) mais l’EP dans son ensemble me fait penser à la pandémie qui a marqué 2020 avec cette saleté de covid19 (Dirty), dont un des symptômes est la fièvre (Sweet Fever) qui provoque une mise en parenthèse de nos vies (Time Has Stopped) et une certaine nostalgie du passé (Past)…

En tous cas, c’est une belle découverte et nous devrions encore entendre parler de Thomas Parth dans un avenir que nous espérons tous plus radieux…

Line-up

Thomas Parth : chant, guitares, basse
Florent Gayat : basse sur « Dirty »
Antony Soler : batterie, claviers

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