Laura Zoog de retour avec « D.N.R »

Il y a des chansons qui mettent des mots sur ce qu’on n’ose pas dire. “DNR”, le nouveau single de Laura Zoog, est de celles-là. Dans ce troisième titre poignant, la chanteuse new-yorkaise transforme le chaos émotionnel en un hymne libérateur.

Laura Zoog

“DNR” — pour Do Not Resuscitate — c’est le cri du cœur de celles qui, même si elles ont aimé fort, décident de ne pas revenir en arrière. C’est une chanson pour toutes celles qui ont déjà voulu croire qu’un amour presque réussi valait la peine de souffrir. Et qui, pourtant, ont choisi de se sauver elles-mêmes.

Avec des influences allant de Holly Humberstone à Renee Rapp, en passant par l’énergie pop d’Ariana Grande, Laura mêle une vulnérabilité sincère à une production électrisante. Le résultat ? Un morceau qui donne envie de danser, de pleurer, et surtout, de guérir.

« Tu peux avoir mal, tu peux regretter, mais tu n’as pas besoin de raviver quelque chose qui t’a déjà brûlée », semble nous dire Laura dans chaque note ».

“DNR” est plus qu’une chanson : c’est une lettre d’amour à soi-même, un rappel qu’on peut avancer, même quand le cœur freine. Pour toutes celles qui traversent la tempête d’un “presque”, Laura Zoog offre une lumière au bout du tunnel.

Qui est Laura Zoog?

Originaire de New York, Laura Zoog est une chanteuse, autrice-compositrice et actrice dont la musique puise dans l’émotion brute, les souvenirs flous et les vérités qu’on a du mal à dire à voix haute. Elle commence sa carrière professionnelle à 21 ans et ne tarde pas à se faire remarquer : elle tourne aux États-Unis et à l’international, notamment en tant que chanteuse principale à bord des croisières Seabourn et Norwegian.

Avec une voix puissante, un sens affûté du storytelling et un style à la croisée de la pop et du rock alternatif, Laura Zoog s’impose comme une artiste à suivre de près. Ses chansons parlent d’amour, de perte, de renaissance — et surtout, de ce moment crucial où l’on choisit enfin de s’écouter.

Réseaux sociaux: InstagramTikTok

Dahlia Dumont, bienvenue dans son album Fantasia

Dahlia Dumont sort le 25 avril 2025 son troisième album Fantasia chez Single Bel, un disque ambitieux à la croisée de la pop, de la world et du jazz.

Dahlia Dumont marche dans les pas de Joni Mitchell avec Fantasia, un nouvel album d’une richesse sonore incroyable. Ses chansons évoquent sa vie, son histoire, ses engagements. L’artiste franco américaine Dahlia Dumont réunit avec cet album des titres qui valent le détour.

Dahlia Dumont et son groupe « The Blue Dahlia » jouent un mélange vibrant de musiques du monde, allant de la chanson française au reggae et au klezmer, influencé par leurs origines new-yorkaises, françaises, sénégalaises, japonaises, argentines et mexicaines. Accordéon mexicain et français, violon nostalgique, section de cuivres planante, section rythmique entraînante et, enfin et surtout, le petit ukulélé lumineux de Dahlia créent un son organique et une énergie électrique.

Dahlia a grandi à New York et vit en France depuis de nombreuses années. Sa musique est donc imprégnée à la fois de son identité américaine et de sa culture française d’adoption. Ces deux cultures abordent différemment de nombreux aspects de la vie, de la nourriture à la politique, en passant par le sexe et l’art. Ces variations donnent lieu à des conversations intéressantes.

Dahlia Dumont, Fantasia

Toutes les infos sur la page du label Single Bel

Tout au long de l’album Fantasia, on se laisse emporter par la voix et l’ukulélé (Dahlia Dumont), la batterie et les percussions (Julien Tekeyan), la basse (Rafael Leroy, Yoshiki Yamada), les guitares (Benjamin Chabert), le piano (Marc Bizzini), mais aussi de l’accordéon diatonique et du trombone (George Saenz), des contrebasses (Yoshiki Yamada, Benjamin Chabert) des synthétiseurs (Marc Bizzini, Julien Tekeyan), des violons (Karen Brunon, Sylvain Rabourdin), du violoncelle (Mathilde Sterna), du fiddle (Elena Moon Park), de la trompette et du flügel (Jackie Coleman), du dobro (Fabien Taverne) de l’hélicon (Raphaël Gouthiere), du beatbox (Elan Freudenthal – le frère de Dahlia), et même du duduk armenien (Artyom Minasyan) et d’un batucada live (Komando Bidon), sans oublier les chœurs (Izaiah Graves “Zaí XP”, Geoffroy « Jeff » Tekeyan, Nicole Rochelle, Aurélie Sureau).

Le clip de Stalker :

Site officiel | Facebook |Youtube | Instagram