2000 : St Germain > Rose rouge


Rose Rouge St GermainUn « Tourist » à Paris, quoi de plus normal ? Du jazz à « St Germain », quoi de plus normal ? De l’« Electro » dans la House, quoi de plus normal ? Une Rose rouge en live Nul Part Ailleurs, quoi de plus normal ?

Avec ce bijou, Ludovic Navarre, marie l’électro aux musiques noire américaine allant du blues au reggae, du jazz à la soul.

Cette fusion est célébrée dans le temple du jazz, Blue Note.

Hommage au Paris cosmopolite avec :

– la soul-jazz de Rose rouge
– le dub engourdi de Montego Bay spleen
– les flûtes exaltés sur So flute
– le latin-jazz de Latin note
– le blues samplée de John Lee Hooker avec Sure thing
– la house dansante du Pont des Art
– les atmosphères africaines et orientales de La Goutte d’Or
– la blaxploitation sur What you think about.

Aucune fausse note, rien à jeter, tout à garder, une merveille de perfection électro et jazzy qui surfe sensuellement sur la note bleue. Un album à avoir absolument dans sa discothèque.

Vous avez chanté tout l’été et bien dansez maintenant !

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1998 : Arno > No job, no rock

1998 : Arno alias Charles and the White Trash European Blues Connection No job, no rockEcoutez-moi cette sonorité bestiale ! Avec sa voix déchirée, Arno alias «Charles and the White Trash European Blues Connection» nous joue au travers de son harmonica, un blues frelaté sur une guitare crade à souhait, pour nous délivrer un bon gros rock boueux avec « No job, no rock ».

Après l’album de reprises de blues déjantés « Charles et les lulus » en 1991, Arno réédite l’expérience en 1998, avec l’album « Charles and the White Trash European Blues Connection ».

Cette virée nostalgique en solo reprend Death of a Clown des Kinks, Commit a crime de Howlin’ Wolf parue sous le titre I’m Leaving You, See-line Woman de Nina Simone et You Got to Move de Mississippi Fred McDowell popularisée par les Rolling Stones. Le tout dans son style éminemment déglingué, au-dessus de laquelle flotte le spectre du Jon Spencer Blues Explosion.

En effet, cet album précisait que Jon Spencer n’avait pas le monopole du blues / trash / rock et Arno (alias charles) nous montre comment on fait pour enregistrer avec quelques amis un album en un après-midi (le 2 avril 1998) !

Putain Putain, c’est vachement bien…

Paroles de “no job, no rock” sur “Charles and the White Trash European Blues Connection”

I remember the years
I remember the days
I remember my teenage fantasies
I remember the details
The girls were lonely
And I remember the nobodies
The boys were borred
I remember the somebodies
No job no rock
No fun at all
We were stoned
We were boared
Even in summertime, wintertime, springtime and the fall
I remember the happyness
I don’t rememeber the tragedy
When there’s nothing left to know
There is no mistery

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