Jacqueline Taïeb sort des beaux remixes avec Play It Like Jacqueline

Jacqueline Taïeb - The Lolita Chic - Play it like Jacqueline

Jacqueline Taïeb sort un EP Play It Like Jacqueline – The Lolita Chic sur lequel la chanteuse pop yéyé revisite certains de ses meilleurs titres avec des remixes affutés signés entre autre Le Goût du Son, ou LGDS.

Jacqueline Taïeb est une comète pop apparue dans les années 60, en pleines années yéyé avec le titre 7 heures du matin. Elle vient de sortir un nouvel EP Play it Like Jacqueline – The Lolita Chic, sur lequel on retrouve des remixes des ses plus grands morceaux, comme 7 heures du Matin, Le cœur au bout des doigts, La Fac de Lettres, Bravo et Ce soir je m’en vais…

Cette compilation est un délice, entre pop gainsbourienne, rock psyché à la Ronnie Bird, et variété BB second degré (« La Fac de Lettres »). Et puis originalité absolue : ses chansons sont d’elles, ce qui est plutôt rarissime pour une fille avec une vraie voix. Parolière émérite, un de ses morceaux figure sur la compil’ « Femmes de Paris »(qui regroupe des artistes féminines de la seconde partie des années 60).

Elle fut la « Révélation du premier MIDEM en janvier 1967 avec son titre « 7 h du matin » ». Jacqueline TAIEB est née à Tunis.

Elle a écrit et composé des chansons pour des artistes aussi divers que prestigieux : Jeanne Manson, Michel Fugain, Yves Montand, Stone, Dave, Maurane, Fabienne Thibault et Dana Dawson qu’elle a découverte à New-York en 89 et pour qui elle a écrit le standard « Ready to Follow You ».

Jacqueline Taïeb – Play It Like Jacqueline
Jacqueline Taïeb – Play It Like Jacqueline

Présent sur la bande son d’A bout de souffle de Jean-Luc Godard, « 7 heures du matin » garde le séditieux parfum d’une jeunesse pré mai 68. Et se retrouve régulièrement au cinéma ou dans les pubs !

Comme dit Jacqueline : « Un max de marques, de séries TV et de films étrangers veulent mes titres ! » Un max, c’est vrai ! Jacqueline Taïeb, surnommée « La Lolita Chic » au Japon, s’est fait connaître dans le monde entier. Aujourd’hui sa cote est au plus haut, le cinéma et la pub utilisent beaucoup sa musique. Et cela devrait se poursuivre avec ces remixes au goût du jour, et souvent dansants.

Voici le clip de 7 heures du matin (LGDS Remix) :

Voici Le coeur au bout des doigts :

Jacqueline Taïeb

Nouvel Ep Play it like Jacqueline

Disponible chez FGL Productions

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Vesko fait briller une lueur d’espoir avec « Sini »!

2019 : Vesko repère Maïmouna Soumbounou, alors âgée de 18 ans, sur les réseaux sociaux, et tombe immédiatement sous le charme de sa voix.

Le producteur saute dans un vol pour le Mali, sa seconde patrie depuis qu’il  a  l’âge de 17ans. A Bamako,  il  rencontre  la  jeune cantatrice malienne, et lui  propose de chanter sur un titre qu’il a composé et emmené dans ses bagages. La jeune diva, qui chante depuis l’âge de quatre ans, accepte : les voilà en studio. D’un trait, comme un fleuve impétueux,  elle chante Sini (littéralement « demain », ou « l’avenir »).

 

C’est cette première prise, spontanée et authentique, qui a été retenue pour l’album.  Avec l’aisance d’une Oumou Sangare – son modèle et sa marraine artistique, elle y parle des enfants de la rue, des orphelins, et de tous ces jeunes laissés pour compte qui se  battent pour s’en sortir. Elle interpelle les autorités de son pays, afin qu’elles investissent  dans l’éducation des moins de 15 ans, qui représentent la moitié de la population malienne: “les enfants sont notre avenir, chante la jeune femme; comment pourraient -ils grandir dans le monde d’aujourd’hui sans un bagage solide ?”. Comme son aînée, Maïmouna Soumbounou met sa voix au service de la société.


A PROPOS DU CLIP

Vesko fait briller une lueur d'espoir avec "Sini"! - Mazik

Le but du clip de Vesko est de montrer la jeunesse Bamakoise tel qu’elle est : dynamique, spontanée et rayonnante, reprenant le thème de la chanson « Sini»:

Cette chanson évoque les enfants de la rue, les orphelins, et tous ces jeunes laissés pour compte qui se battent pour s’en sortir. Elle interpelle les autorités de son pays afin qu’elles investissent dans l’éducation des moins de 15 ans, qui représentent près de la moitié de la population malienne.