Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles et 27/09 à Paris

Jesse Cook revient en concert pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse) : un virtuose de la guitare qui vaut le détour sur scène. A réserver avec les liens en bas d’article.

Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse)
Jesse Cook pour deux dates en France le 26/09 à Arles (Cargo de Nuit) et 27/09 à Paris (Café de la Danse)

Jesse Cook aime fusionner différents styles de musique provenant de différentes régions du monde : flamenco, rumba, mais aussi rock, pop et classique.

Inspiré bien sûr par Nico Reyes, guitariste des Gypsy Kings, mais aussi par Peter Gabriel, Paco de Lucia, Buena Vista Social Club et Al Di Meola, Jesse Cook aime la musique qui offre un terrain commun aux différentes traditions, un espace où les musiques de toutes les époques historiques et de toutes les parties du monde peuvent se mélanger. Ses deux derniers albums lui ont permis de réaliser « qu’on peut aller n’importe où sur Terre sans bouger ».

Guitariste accompli, réalisateur et cinéaste tout aussi prolifique, Jesse Cook a fait évoluer ses talents pour créer des expériences qui ravissent le public à la fois en concert et en ligne.

Fort d’une carrière de plus de 25 ans et de milliers de concerts à travers le monde, Jesse Cook et son groupe offrent un mélange unique de rythmes et de rumba. Une musique inspirée du flamenco, fusionnée à une variété de styles latins, classiques et jazz, qui se transpose sur scène en un élan de liberté.

Ce guitariste canadien attire un public toujours croissant, friand de sa rumba flamenca, ses textures « nouvelâgeuses » et ses touches de jazz subtiles. Il est né à Paris, de parents canadiens. Après son retour au Canada, Cook a commencé les cours de guitare.

« Mon professeur jouait du flamenco. Ensuite, mon père à qui je rendais visite en France habitait à côté de Nicolas Reyes, le chanteur des Gipsy Kings. J’ai vu des gamins gitans au coin de la rue jouer de la même façon. C’était comme si le monde conspirait pour m’intéresser à ce style et je suis devenu accro. » C’est lorsqu’il a entendu l’album Friday Night in San Francisco de Paco de Lucia, Al Di Meola, John McLaughlin que les dés ont été jetés.

A ne pas rater lors de son passage en France, le 26 septembre à Arles au Cargo de Nuit et le 27 septembre à Paris au Café de la Danse.

En concert :

26.09 à Arles au Cargo de Nuit – Réservations

27.09 à Paris au Café de la Danse – Réservations

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Kaori s’envole avec son 3ème album Dans l’attente d’un signe

KAORI-Dans l'attente d'un signe-

Kaori a sorti son troisième album Dans l’attente d’un signe, à découvrir sur toutes les plateformes digitales et avec le premier extrait Ma belle îlienne, et son clip officiel.

Kaori, c’est une merveille de songwriting à la guitare. Alexis Diawari et Thierry Folcher jouent un mélange subtil de reggae, de blues rock, de bossa, de chanson française, des textes engagés sur la liberté, la tolérance, la dignité humaine, une ode à la vie comme la douceur d’un poème.

On adore leur nouvel album Dans l’attente d’un signe, qui est un cocktail musical océanique très réussi. Une musique bien équilibrée avec de très belles mélodies et de beaux textes. Un peu blues, un peu pop, un peu chanson française.

Voilà 11 titres comme autant de plages ensoleillées où il fera bon se laisser porter par les ondulations d’une houle océanienne, un ressac de reggae revisité ou un shuffle évocateur des atmosphères bluesy.

Les deux artistes, dont la moyenne d’âge frôle la soixantaine, ont choisi l’image du kaori, arbre millénaire qui peuple les forêts du Caillou, comme belle métaphore pour parler de leurs profondes racines aux passés multiples, soucieux de déployer aujourd’hui leurs branches bien au-delà de l’Archipel.

Ils sont deux visages de leur Nouvelle-Calédonie natale. Thierry Folcher, calédonien de Poindimié descendant du bagne, et Alexis Diawari, originaire d’un clan kanak de Canala, donnent corps et voix à ce possible destin commun.

En tentant leur chance en France, les deux optimistes ont rencontré Lionel Gaillardin, réalisateur et arrangeur du studio Bonsai. Dans ce petit espace d’enregistrement, Kaori succède à Henri Salvador, à Benjamin Biolay, à Karen Ann ou encore à Didier Wampas…

Voilà un duo calédonien qui crée avec talent une musique habitée de leurs parcours de vie, riches et variés… Le niveau de professionnalisme intrigue.

Découvrez le clip de Ma Belle îlienne :

A ne pas rater le 14/11 au Sunset à Paris et sur leur site officiel

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