LE BRUIT dévoile un premier vinyle Idle Hands / Au Solde des Nuits

Il y a des groupes qui murmurent dans le fracas du monde. LE BRUIT, trio anglo-français à l’âme profondément cinématographique, est de ceux-là. Avec la sortie de leur tout premier 7 pouces en double face A, Idle Hands / Au Solde des Nuits, disponible dès maintenant via Rough Trade, le groupe pose les bases d’un univers sonore à la fois hypnotique, mélancolique et résolument singulier.

LE BRUIT

Entre les cordes graves des guitares baritones et les nappes brumeuses de percussions feutrées, LE BRUIT tisse une musique atmosphérique où se croisent les échos de Mogwai, la gravité de Leonard Cohen, la tension retenue de Interpol, ou encore la poésie incandescente de PJ Harvey.

Le projet, porté par Tom et Johanna, explore avec une rare justesse l’interstice entre l’intime et l’infini. Leurs voix, masculine et féminine, s’enlacent dans un dialogue spectral, tantôt en anglais, tantôt en français, comme deux spectres hantant un même souvenir.

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Avec ce double titre, LE BRUIT ne se contente pas d’introduire son esthétique : il impose un climat, une tension, une manière de faire résonner le silence. Une expérience d’écoute totale, à fleur de peau, à fleur de nuit.

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YARD de retour avec « Trevor »

Il est des morceaux qui ne se contentent pas de jouer dans nos oreilles – ils s’infiltrent, s’imposent, et explosent. Avec « Trevor« , le trio électropunk irlandais YARD livre une fresque sonore dystopique, un tourbillon d’émotions synthétiques où l’homme et la machine ne font plus qu’un.

Sur des rythmes techno hypnotiques, des nappes de synthés vertigineuses et des cris stridents, YARD trace une route accidentée, brutale, mais furieusement vivante. « Trevor » est une expérience viscérale, un cri du cœur masqué sous un casque en forme de seau : Bucketman, leur étrange mascotte, icône d’un monde qui vacille.

YARD de retour avec "Trevor"

Inspiré par un vélo perdu – un compagnon nommé Trevor – le chanteur Emmet White livre une méditation troublante sur l’attachement aux objets, et la douleur inattendue de leur absence. C’est dans ce deuil intime que la musique de YARD trouve son point de rupture, un lieu où l’on danse en larmes, le poing levé, les yeux fermés.

Premier extrait d’un EP à venir en mai, « Trevor » est un manifeste sonore, un hommage à l’anormal, un voyage sans retour. Pour les fans de Death Grips, Nine Inch Nails ou SUUNS, c’est une invitation à franchir la ligne. Une chose est sûre : 2025 s’annonce incandescent pour YARD.

Écoutez « Trevor » dès maintenant – et préparez-vous à ne plus jamais l’oublier.

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