Un « Tourist » à Paris, quoi de plus normal ? Du jazz à « St Germain », quoi de plus normal ? De l’« Electro » dans la House, quoi de plus normal ? Une Rose rouge en live Nul Part Ailleurs, quoi de plus normal ?
Avec ce bijou, Ludovic Navarre, marie l’électro aux musiques noire américaine allant du blues au reggae, du jazz à la soul.
Cette fusion est célébrée dans le temple du jazz, Blue Note.
Hommage au Paris cosmopolite avec :
– la soul-jazz de Rose rouge
– le dub engourdi de Montego Bay spleen
– les flûtes exaltés sur So flute
– le latin-jazz de Latin note
– le blues samplée de John Lee Hooker avec Sure thing
– la house dansante du Pont des Art
– les atmosphères africaines et orientales de La Goutte d’Or
– la blaxploitation sur What you think about.
Aucune fausse note, rien à jeter, tout à garder, une merveille de perfection électro et jazzy qui surfe sensuellement sur la note bleue. Un album à avoir absolument dans sa discothèque.
Vous avez chanté tout l’été et bien dansez maintenant !
« Clandestino » devait être le testament musical de « Manu Chao », mais le succès inattendu de cet album avec des titres comme « Bongo Bong » ont permis à Manu de renaître.
On ne dira donc pas Chao à Manu, Arriba, abajo, al centro y pa dentro !
Après l’expérience de la Mano Negra, Manu Chao cheminera pendant près de huit ans en Amérique latine. De cette virée, naitra l’album Clandestino qui devait clôturer sa carrière musicale sur une base techno (ce qui aurait été certainement le cas du coup). Mais un bug informatique supprime tous les rythmes technos de la maquette (dieu existe-t-il ?), pour nous livrer une musique plus libérée, plus captivante, plus séduisante.
Lors de sa sortie, Clandestino est pour Manu juste une démo, une envie, un souhait. Mais à sa grande surprise, le disque est un succès (3 millions d’albums vendus dont 2 à l’étranger) et devient une des références majeures de la musique latine des années 2000, symbole de la fusion métissée.
Dans un style carnet de route, l’album mélange tour à tour, reggae, rock, musique latine traditionnelle, rumbas, rythmes brésiliens pour nous offrir un patchwork d’Amérique Latine, en français, en espagnol, en arabe et en anglais avec cette version reggae inédite de Bongo Bong aux studios d’Abbey Road, que je trouve bien évidemment magnifique.
Paroles de Bongo Bong tiré de l’album Clandestino de Manu Chao
Mama was queen of the mambo Papa was king of the Congo Deep down in the jungle I started bangin’ my first bongo Every monkeyed like to be In my place instead of me ‘Cause I’m the king of bongo, baby I’m the king of bongo bong I went to the big town Where there is a lot of sound From the jungle to the city Looking for a bigger crown So I play my boogie For the people of big city But they don’t go crazy When I’m bangin’ in my boogie I’m the « king of the bongo, king of the bongo bong » Hear me when I come King of the bongo, king of the bongo bong They say that I’m a clown Making too much dirty sound They say there is no place for little monkey in this town Nobody’d like to be in my place instead of me Cause nobody go crazy when I’m bangin’ on my boogie I’m the king of the bongo, king of the bongo bong Hear me when I come « King of the bongo, king of the bongo bong » Bangin’ on my bongo all that swing belongs to me I’m so happy there’s nobody in my place instead of me I’m a king without a crown hanging loose in a big town But I’m the king of bongo baby I’m the king of bongo bong King of the bongo, king of the bongo bong
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