Robert Luther Smith dévoile « Didn’t I Say »

Robert Luther Smith

Après avoir marqué son grand retour en septembre 2025 avec « Hole In My Heart », l’auteur-compositeur-interprète Robert Luther Smith dévoile aujourd’hui son nouveau single, « Didn’t I Say ». Une sortie très attendue qui confirme la renaissance artistique d’un musicien dont la sensibilité n’a rien perdu de sa force.

Ce nouveau titre s’inscrit dans la continuité émotionnelle de son précédent morceau, tout en explorant un territoire encore plus intime. « Didn’t I Say » s’attarde sur la fragilité du lien amoureux, sur ce fil ténu qui relie deux êtres lorsqu’ils essaient de croire en l’amour malgré la peur de le perdre. Luther y mêle avec finesse son écriture introspective à une production où la chaleur analogique rencontre une délicate touche électronique.

L’artiste décrit ce titre comme une forme de question intérieure, un dialogue entre le cœur, la foi et le doute. Avec sa voix profonde et son interprétation chargée d’émotion, il pose des questions universelles : Que vaut l’amour quand on craint de le voir disparaître ? Que reste-t-il lorsque l’on se demande si l’autre nous entend vraiment ?

Didn't I Say

Là où « Hole In My Heart » vibrait de couleurs disco et de cuivres lumineux, « Didn’t I Say » adopte un ton plus posé, presque méditatif, invitant l’auditeur à un voyage intérieur. La musique ralentit, se resserre, pour mieux laisser entendre les nuances de la vulnérabilité humaine.

Avec ce nouveau single, Robert Luther Smith confirme sa capacité à mêler émotion brute, profondeur spirituelle et élégance sonore. « Didn’t I Say » n’est pas seulement une chanson : c’est une interrogation, un souffle, un mouvement intérieur. Une étape marquante dans le retour d’un artiste qui sait transformer ses propres doutes en œuvres profondément humaines.

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Andrea Lafontaine lève le voile sur La Fatalité

Andrea Lafontaine

Auteur-compositeur-interprète de la scène indépendante belge, Andrea Lafontaine signe son retour avec La Fatalité, son tout premier album en français. Après trois disques remarqués avec son groupe et une parenthèse plus intimiste née pendant le confinement, l’artiste s’offre ici une œuvre personnelle, sans filtre, où se croisent mélancolie lumineuse et fulgurances pop.

À travers onze titres, Andrea Lafontaine explore avec lucidité et tendresse les paradoxes du monde moderne. On y retrouve l’échec érigé en destin collectif (« Johnny »), la nostalgie d’âges idéalisés (« Et à ma fin »), l’effacement progressif d’une musique qu’il chérit (« Rock Ringard » / « Trop Souvent »), ou encore la complexité des liens et des désirs (« Alpha Romeo »). Chaque morceau se vit comme un récit, fruit d’une écriture ciselée et d’une voix qui oscille entre confidence et éclat.

Andrea Lafontaine

Sur le plan sonore, La Fatalité se déploie comme une mosaïque : de l’élégie vaporeuse d’« Ennui Mortel » à la légèreté dansante de « Dans la nuit », en passant par l’énergie estivale de « La Piscine ». L’artiste ose l’expérimentation – autotune utilisé comme matière expressive (« Ennui “Winslow” Mortel »), hommage aux ritournelles classiques (« Sans Rancune ») – tout en gardant une cohérence singulière. Le résultat est un album libre, exigeant mais accessible, qui brouille volontairement les frontières entre chanson française, indie et pop contemporaine.

Avec La Fatalité, Andrea Lafontaine propose un disque à la fois ancré dans une tradition et tourné vers l’avenir. Derrière les contrastes, se dessine une quête : transmettre, témoigner, et composer avec “l’inévitable”.

« Ce disque est une tentative de dresser le portrait d’une époque – à travers mon ressenti personnel –, de ses illusions, de ses attaches, et de ce que l’on peut en garder. Cela parle de l’inévitable, de La Fatalité. » – Andrea Lafontaine

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