Marie-Anne Alizon est une chanteuse, comédienne, poète, romancière française.
Auteur-compositeur-interprète, c’est une artiste « tout terrain », surprenante, débordante d’énergie.
Un parcours hors normes, des bals populaires de ses débuts, aux hôtels 5 étoiles, festivals…
Le jazz (concerts et première partie du regretté Didier Lockwood ou Diane Reeves) la soul, la pop, le gospel, la chanson à texte, le théâtre, les doublages de film, tout ce qui trouve écho à ses yeux, oreilles et cœur, Marie-Anne s’y engouffre avec curiosité et gourmandise.
Son registre de création fait la part belle à la langue française, une pop mêlant jeux de silences, et accents jazz, blues et rocks délibérément acérés. Monde onirique où la poésie est reine.
Marie-Anne Alizon est entourée de musiciens aguerris, tous issus d’univers musicaux très différents : hip hop, jazz, rock, classique etc.
Une grande richesse artistique, et humaine…
En amont du prochain album, Marie-Anne Alizon présente sur scène son nouvel EP : « La Reine Marteau » dont je vous invite à découvrir les extraits dans la vidéo ci-dessous :
J’ai eu l’occasion d’écouter attentivement les quatre titres de cet EP.
C’est plutôt bien, des arrangements soignés et un enregistrement de qualité, de la bonne pop française aux influences jazzy, rock et funky avec des apports de sax, violon et quelques rythmiques au clavier façon Stevie Wonder…
Les quatre titres « La Reine Marteau », « Le Joug », « Nos Corps » et « Sale Temps pour les Pélicans » est figurent désormais sur notre playslist en ligne.
Avec ce troisième opus qui puise dans le punk-heavy metal à la sauce hip-hop, l’énergie volcanique de Shaka Ponk se tempère en 12 titres massifs et lumineux, E=mc2 !
On ouvre avec la batterie tribale de « Let’s bang », les voix nous offrent une mélodie de skate rock comme un hommage à « Offspring ». You gotta move your butt. Bangesque !
Les power chords bouillonnants de « I’m picky » flirtent sur du hip-hop à la sauce « Red Hot Chili Peppers ». Brûlant !
Samaha se laisse aller sur le rockabilly percutant de « Brunette localicious » pour nous livrer de sa voix soul déjantée un punk alternatif de derrière les fagots. Sweet and vicious !
Les synthés groggy et dirty pop de « I’m A Lady » laissent les guitares punk-rock envoyer la purée sur une électro bidouillée à souhait. Ca déménage !
La voix soul à la hip hop percutante de Samaha la dominatrice m’envoie une monstrueuse giclée de rock sur « Sex ball ». Jouissif !
Sur le fluide reggae à la sauce electro de « My name is stain » les résonances regorgent de cyber effets jamaicain. Aérien !
Sur le punk métal à x bit de « Shiza radio », la bestialité des guitares foncent sur un fonk primaire. Hertzien !
L’intro de « Run Run Run » à la China Girl de « David Bowie » nous fait courir sur les frettes de la guitare. Aigre doux !
L’électro-dance de « Dancing dead » fait onduler le bassin sur un beat bien dosé. Love on the beat !
Le heavy rock de « Old school rocka » renvoie Beat Assailant à ses chères études. Riffs tueurs de rappeurs !
Le retour de Bertrand Cantat sur « Palabra mi amor » ouvre les Shaka Ponk à la langue française comme son nom ne l’indique pas. La rage à la « Noir Desir » qui habite ce titre, entremêle les trois voix sur un rythmique rock caressée par des riffs de guitares acérés. Le titre s’achève, nous achève, sur un solo de guitare à la Teyssot -Gay dans la joie et la furie. Fiévreux !
Avec cet album écrit sur la route durant une tournée, les « Shaka ponk » nous livrent un heavy électro punk rock de derrière les fagots afin de vous métalliser la tête, les fesses et les pieds. Vous avez chanté tout l’été et bien bougez maintenant.
Paroles de « Palabra mi amor » de Shaka ponk
Un sur deux moins qu’un chien Éliminez les flèches et les indiens Le bluff qui sied aux visages blêmes T’aime le blabla, le blabla t’aime Paysages désolés qui circulent dans nos veines Oh chéri, tu charries, plus d’oxygène Et tu continues de parler J’ai bravé le ciel, j’ai bravé le temps Plus rien n’a de sens à présent Faire des enfants pour sucrer l’amer Ce ne seront que des traîne-misère Qui se tordront le cou vers les grands A l’arrière en nous regardant Car l’arrière est un passé vers l’avant Palabra mi amor ‘Cause you’re a monkey sophistica Palabra mi amor You should be talking in color Palabra mi amor ‘Cause you don’t care about the future Palabra mi amor You’re solo dancing superior Just baila baila superior P-a-l-a-b-r-a De darwin à winners Todos son blousés, beautiful losers Ah mais pourtant la blogosphère Relie sans cesse mes hémisphères Et c’est le barnum (just fuckin’ great) Sur le forum (just fuckin’ great) Ma pomme (fuckin’ war) J’aurais pas dû la ramener Palabra mi amor ‘Cause you’re a monkey sophistica Palabra mi amor You should be talking in color Palabra mi amor ‘Cause you don’t care about the future Palabra mi amor You’re solo dancing superior Just baila baila superior P-a-l-a-b-r-a Je prend mon temps sans plus attendre Je bouge mon cul sur mon divan Le déluge viens pour mes enfants Et dans les dîners je m’étends Sur le sujet, évidemment Je suis le sauveur, je suis savant Je suis savant Je suis savant (Je suis savant) I am a man made of joy and pain You are también made of sun and rain They seekin’ me, bipolarity I am, I play, I say that’s ok C’mon fuck that shit! Palabra mi amor ‘Cause you’re a monkey sophistica Palabra mi amor You should be talking in color Palabra mi amor ‘Cause you don’t care about the future Palabra mi amor You’re solo dancing superior Just baila baila superior P-a-l-a-b-r-a P-a-l-a-b-r-a Just baila baila superior P-a-l-a-b-r-a P-a-l-a-b-r-a
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