Il n’y a pas besoin de cape pour voler plus haut. Pas besoin de super-pouvoirs pour briller dans l’ombre. Il suffit d’une voix, d’un rythme, et d’un message. Avec “WINNER”, POSITIVEMAN ne chante pas seulement – il transmet.
Derrière le masque, un cœur. Derrière les beats, une histoire. Des flûtes andines traversent l’espace comme des souvenirs d’enfance. Les synthés analogiques résonnent comme une ville qui ne dort jamais. Et la voix de POSITIVEMAN, calme et ardente, nous rappelle que l’espoir ne fait jamais faux bond à ceux qui avancent.
« Gagner, ce n’est pas battre l’autre. C’est survivre, c’est grandir, c’est se retrouver soi-même », confie-t-il.
“WINNER” n’est pas un simple morceau d’electro-pop : c’est une renaissance musicale, une prière dansante, une déclaration à celles et ceux qui tombent, qui doutent, qui se relèvent. Loin du cynisme, POSITIVEMAN propose un autre récit : celui d’un monde meilleur, à force d’amour et de lumière.
Et puis, il y a ce masque. Ce mystère. POSITIVEMAN, silhouette iconique venue de la planète imaginaire POMAN, n’est pas un artiste comme les autres. Il ne cherche pas la lumière pour lui-même, mais pour les autres. Il ne parle pas de lui, mais de nous tous, dans nos élans, nos doutes, nos tentatives de croire encore. Il incarne une idée simple : la positivité comme arme douce dans un monde trop souvent dur.
Le clip de “WINNER”, tourné dans différents pays, illustre cette dimension planétaire. Ce n’est pas un héros solitaire, c’est un passeur. Un souffle. Une énergie collective. À travers ses précédents titres comme “BOMBA”, “OH LA LA” ou “VENI VIDI VICI”, POSITIVEMAN nous avait déjà préparés à ça. À ce moment plus sobre, plus intérieur. Plus essentiel.
Il y a dans “WINNER” quelque chose de profondément humain, malgré l’univers fantastique. Et peut-être est-ce cela, la plus grande réussite de POSITIVEMAN : nous rappeler que même en pleine fiction, l’émotion reste réelle.
Sous ses allures de super-héros, POSITIVEMAN offre surtout un miroir. Et dans ce miroir, on se reconnaît : « fatigué·e mais debout. Fragile, mais vainqueur.x »