The Red Goes Black dévoile le single Summer Night le 24/02/2023

The Red Goes Black dévoile son nouveau single « Summer Night » le 24 février 2023. Il s’agit du deuxième extrait du troisième album du groupe breton intitulé « Keep it in mind » annoncé pour le 28 avril. Des sonorités qui fleurent bon les parfums de la Motown des années 70…

The Red Goes Black - Summer Night

The Red Goes Black en bref

Voilà maintenant plus de dix ans que Douarnenez est repéré comme l’épicentre de secousses électriques au groove ardent. Car c’est bien là, au cœur de la remuante Cornouaille, que fusionne l’alliage des Red Goes Black : les braises rougeoyantes d’une soul impétueuse éclairent le noir chromé des guitares, comme échappées d’un âge d’or du blues-rock.

De sa baie quotidienne, le combo finistérien gardait toujours un œil vers le phare ouest, les vibes afro-américaines à l’horizon : la Stax de Memphis et la Motown de Detroit, le funk du bayou et le rock sudiste de grattes branchées sur pédale fuzz.

Le rêve armoricain en somme, vécu sur deux premiers albums incandescents (I Quit You Dead City et Fire, d’ailleurs mixés aux États-Unis), relecture absolument moderne, à l’énergie contagieuse, d’une décennie musicale enchantée (1965 – 1975).

Deuxième extrait du nouvel album de The Red Goes Black, « Summer Night » montre que le groupe n’a pas totalement délaissé les grooves sensuels de la soul.

Avec ce morceau, ils prouvent une nouvelle fois que ces rythmes sont au cœur de leur ADN musical. Refrains à la mélodie imparables et grooves qui invitent à la danse, s’entremêlent pour illustrer cette nuit d’été brûlante et funky où résonnent les Isley Brothers, Betty Davis, Sly & the Family Stone ou encore Wilson Pickett.

Dans « In The Chest », issu également du nouvel album des Red Goes Black, les évocations poétiques du port de Douarnenez, parées de ses couleurs automnales, sont élégamment soulignées par le piano de Thomas.

Il n’est pourtant pas question de mélancolie quand déboule le refrain et ses guitares électriques énergiques. Il s’agit plutôt d’affirmer l’appartenance à ce territoire et d’exprimer de la reconnaissance envers l’être aimé pour y avoir également fondé son foyer. La chanson se mue alors en hymne rock avec ses accords majeurs, ses chœurs entrainants et sa ligne de basse aux accents britishs.

Discographie

2015 – I Quit You Dead City
2018 – Fire

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The Butterfly Effect, l’envolée du rock australien qui a conquis le monde

The Butterfly Effect est un groupe de rock alternatif australien formé en 1999. Avec des influences allant du metal progressif au rock psychédélique, leur musique se caractérise par des riffs de guitare lourds, des mélodies atmosphériques et des paroles introspectives. Le groupe s’est rapidement fait remarquer en Australie avec leur premier album éponyme en 2001, qui a été suivi de trois autres albums studio. Malgré des changements de membres au fil des ans, The Butterfly Effect a toujours réussi à maintenir son style unique et sa passion pour la musique, attirant une base de fans dévoués dans leur pays d’origine et au-delà. Dans cet article, nous plongerons dans l’histoire du groupe, leur musique emblématique et leur influence sur la scène rock australienne.

The Butterfly Effect, l'envolée du rock australien qui a conquis le monde - Mazik

The Butterfly Effect en bref

The Butterfly Effect, l'envolée du rock australien qui a conquis le monde - MazikThe Butterfly Effect (l’effet papillon) est un groupe de rock australien originaire de Brisbane qui s’est formé en 1999. Le groupe a été fondé par le guitariste Kurt Goedhart et le batteur Ben Hall, qui ont été rejoints par Clint Boge après un concert à Ipswich en 1999.

Le groupe a sorti son premier EP éponyme en 2001, suivi de trois albums complets : Begins Here en 2003, Imago en 2006 et Final Conversation of Kings en 2008. Glenn Esmond a rejoint le groupe en tant que bassiste avant le début de leur tournée de promotion pour l’album de 2001 et a continué à jouer avec le groupe jusqu’à sa séparation en 2016.

Le premier single du groupe, « Take it Away », est sorti en 2002, suivi du single « Crave ». Les deux ont été largement diffusés sur la station de radio australienne Triple J. Le groupe a connu un certain succès en Europe après que son premier album a été publié par RSK au Royaume-Uni, Sony en Allemagne et Suburban en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg. En août 2004, le groupe a fait une tournée en Europe, qui a duré six semaines, et a donné 32 concerts en 40 jours.

The Butterfly Effect a enregistré un nouveau single, « Phoenix », en 2005, avec Ken Malaxos au banjo et Christo Stamoulis aux chœurs. Le deuxième album studio du groupe, Imago, est sorti en Australie en juillet 2006 et a débuté à la deuxième place du classement ARIA des 100 albums musicaux les plus vendus de la semaine.

Après avoir connu des difficultés pour travailler sur leur quatrième album studio, Clint Boge a quitté le groupe en 2012 en raison de différences personnelles et créatives. Le groupe s’est séparé en 2016 après une dernière tournée et la sortie d’un dernier single avec le chanteur Paul Galagher. Cependant, en juillet 2017, The Butterfly Effect a annoncé sa reformation et a prévu une tournée en tête d’affiche en mars 2018.

En juin 2022, le groupe a annoncé la sortie de son quatrième album intitulé simplement IV pour fin 2022 ainsi qu’une une tournée en Australie en septembre et octobre 2022.

The Butterfly Effect, l'envolée du rock australien qui a conquis le monde - Mazik

Membres

Kurt Goedhart : guitare
Ben Hall : batterie
Clint Boge : chant, guitare rythmique
Glenn Esmond : basse, chœurs

Anciens membres

Michael Cavendish : basse
Paul Galagher : chant

Discographie

Albums studio
2003 – Begins Here
2006 – Imago
2008 – Final Conversation of Kings
2022 – IV

Compilations
2012 – Effected
2016 – B-Sides, Live and Rarities

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