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2 novembre 202122 juin 2023

John Milk sur un bon groove avec Don’t Blame The Hammer

John Milk - Don't Blame The Hammer [Official Video]

John Milk dévoile un mini-album entre soul vintage et production actuelle appelé Don’t Blame The Hammer. Une réussite totale à écouter dès à présent via le label Underdog Records.

John Milk prouve une fois de plus qu’on peut exceller à jouer de la soul en France. John Milk et son « Don’t Blame The Hammer » le confirme en mariant vintage, électro et hip hop. Brillant.

Don’t Blame The Hammer, entre sonorités vintage et production moderne rend hommage aux riches heures de la soul d’Al Green à Curtis Mayfield, en passant par Stevie Wonder ou Isaac Hayes. Composé et produit par le chanteur lui-même, ce maxi six titres est une synthèse élégante et aboutie des influences qui sont les siennes : Jamaican Soul, Rythm & Blues, Shaolin Soul, NuSoul et Hip-Hop.

Habile dans l’instrumentation comme dans les textes, entre réflexions personnelles et engagements face à la violence de ce monde, John Milk cultive avant tout une joie de vivre, avec sa néo-soul s’hybridant aux énergies du hip-hop et du funk. Ses machines distillent une musicalité entre deux époques, opérant le passage entre les gimmicks old school et des appropriations modernes, avec un certain talent pour les prods hip-hop savamment orchestrées, ce qui lui offre de la nuance par rapport à d’autres artistes dans la même veine, comme Jamie Lidell.

Le résultat est un mélange de sonorités vintages et de sons électroniques. Il faut dire que son expérience d’ex patron de label (KA Records) lui donne une vision claire du chemin à suivre et des pavés bien intentionnés à surmonter.

En écoutant le EP, vous apprécierez également les remixes inspirés de Blanka (La Fine Equipe) et Patchworks (Mr President, Joa Selva) emmenant le titre phare Don’t Blame The Hammer tantôt à Spanish Harlem tantôt à Brooklyn.

Voici le clip du single Don’t Blame The Hammer :

Le lien digital officiel pour le streaming du EP

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29 octobre 202130 octobre 2021

GVMMV nous entraine dans son Dernier Voyage

GVMMV annonce son premier EP avec le clip de Dernier Voyage. Voici un coup de coeur intégral de toute l’équipe, une pépite entre pop et synthwave à la Kavinsky. On vous dévoile le clip et les paroles sur Mazik.

GVMMV, voilà un nom qui surprend et tout de suite, on se demande comment il se prononce. Et bien, renseignements pris, il s’agit de Gamma, en référence aux Ondes Martenot, instrument jouées par la mère de Marie Claverie, la musicienne en chef de GVMMV. Jusqu’ici, ça va ?

GVMMV - DERNIER VOYAGE — GVMMV – DERNIER VOYAGE

Entre pop synthétique à la Jacno, Christophe, ou Etienne Daho, et électro à la Kavinsky, GVMMV impose sa voix très émouvante sur la scène française d’aujourd’hui. A la croisée de divers styles et de multiples influences, Marie, aidée de sa co-auteure Kim Gillier et de Christophe Casanave (compositeur de Marc Lavoine, Sylvie Vartan, Najoua Belyzel) slalome sur de la pop électro façon Kavinsky, Christine and the Queens ou encore Christophe.

« Tout bas je te crie,

Ma frivolité et mes excès

Te chante mes extravagances,

Mes derniers secrets, mes derniers secrets

Tout fort je te murmure mes folies, mes regrets

Te chante cet infini silence d’instants volés.

Et mon corps hurlant voudrait se retourner

Mais le tien se fout de ces futilités

Cendre par cendre, dans une mer sans promesse

Je t’ai vu sombrer, éternelle paresse… » Extrait de Dernier Voyage.

La musique et l’écriture offrent à Marie l’espace possible pour exprimer ses états d’âmes et ses blessures. Marie a senti qu’à l’intérieur d’elle-même la matière dont elle était composée voulait s’échapper, littéralement exploser ! C’est comme cela qu’est né son premier projet en tant qu’auteure et interprète, GVMMV dans lequel elle se met à nue et se livre sans filet.

On se régale avec le beau clip chargé de symboles de Dernier Voyage, le premier extrait de GVMMV :

Lien digital

facebook.com/icigamma

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