Dahlia Dumont, bienvenue dans son album Fantasia

Dahlia Dumont sort le 25 avril 2025 son troisième album Fantasia chez Single Bel, un disque ambitieux à la croisée de la pop, de la world et du jazz.

Dahlia Dumont marche dans les pas de Joni Mitchell avec Fantasia, un nouvel album d’une richesse sonore incroyable. Ses chansons évoquent sa vie, son histoire, ses engagements. L’artiste franco américaine Dahlia Dumont réunit avec cet album des titres qui valent le détour.

Dahlia Dumont et son groupe « The Blue Dahlia » jouent un mélange vibrant de musiques du monde, allant de la chanson française au reggae et au klezmer, influencé par leurs origines new-yorkaises, françaises, sénégalaises, japonaises, argentines et mexicaines. Accordéon mexicain et français, violon nostalgique, section de cuivres planante, section rythmique entraînante et, enfin et surtout, le petit ukulélé lumineux de Dahlia créent un son organique et une énergie électrique.

Dahlia a grandi à New York et vit en France depuis de nombreuses années. Sa musique est donc imprégnée à la fois de son identité américaine et de sa culture française d’adoption. Ces deux cultures abordent différemment de nombreux aspects de la vie, de la nourriture à la politique, en passant par le sexe et l’art. Ces variations donnent lieu à des conversations intéressantes.

Dahlia Dumont, Fantasia

Toutes les infos sur la page du label Single Bel

Tout au long de l’album Fantasia, on se laisse emporter par la voix et l’ukulélé (Dahlia Dumont), la batterie et les percussions (Julien Tekeyan), la basse (Rafael Leroy, Yoshiki Yamada), les guitares (Benjamin Chabert), le piano (Marc Bizzini), mais aussi de l’accordéon diatonique et du trombone (George Saenz), des contrebasses (Yoshiki Yamada, Benjamin Chabert) des synthétiseurs (Marc Bizzini, Julien Tekeyan), des violons (Karen Brunon, Sylvain Rabourdin), du violoncelle (Mathilde Sterna), du fiddle (Elena Moon Park), de la trompette et du flügel (Jackie Coleman), du dobro (Fabien Taverne) de l’hélicon (Raphaël Gouthiere), du beatbox (Elan Freudenthal – le frère de Dahlia), et même du duduk armenien (Artyom Minasyan) et d’un batucada live (Komando Bidon), sans oublier les chœurs (Izaiah Graves “Zaí XP”, Geoffroy « Jeff » Tekeyan, Nicole Rochelle, Aurélie Sureau).

Le clip de Stalker :

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Alain Valdés : L’alchimiste du Rock et du Funk aux multiples facettes

Musicien, producteur, auteur, compositeur et interprète, Alain Valdés est une figure incontournable de la scène musicale indépendante française. Après des débuts au sein de plusieurs groupes de reprises et de compositions originales, il développe depuis 2018 une carrière solo riche et variée, explorant différents styles musicaux.

Alain Valdés : L’alchimiste du Rock et du Funk aux multiples facettes

Un parcours musical éclectique

Entre 1995 et 2000, Alain Valdés fait ses armes au sein de « Hunky Dory », un groupe de reprises anglo-saxonnes rendant hommage à des légendes comme David Bowie, Led Zeppelin, Thin Lizzy et Radiohead. Il rejoint ensuite « The Roustabouts », une formation rock mêlant compositions et reprises, confirmant ainsi son amour pour les sonorités électriques et authentiques.

De 2002 à 2010, il se consacre davantage à l’écriture et la composition en collaborant avec divers artistes en tant que parolier et mélodiste. Ce travail d’orfèvre l’amène progressivement à développer ses propres projets musicaux.

Une carrière solo marquée par des projets ambitieux

Depuis 2018, Alain Valdés enchaîne les productions solo, avec une discographie en constante évolution :

    • « Les voyages en kaléido » (2018) – Un album de 11 titres qui marque le début de son aventure solo.
    • « Club underground #1 » (2019) – Un EP de 5 titres dévoilant une ambiance plus intime et expérimentale.
    • « Juste pour voir » (2020) – Un album de 8 titres où il affine son univers musical.
    • « Nova » (2022) – Un EP de 4 morceaux offrant une immersion sonore immersive.
    • « Les centaures / Punky DIY » (2023) – Un projet de 2 titres aux sonorités brutes et énergiques.
    • « Grizzly mood » (2024) – Un EP de 5 titres qui représente l’aboutissement de son exploration musicale.

Alain Valdés : Un artiste à découvrir

Avec un univers à la croisée du rock, du funk et du jazz, Alain Valdés continue de surprendre par sa créativité et son engagement musical. Son dernier EP, Grizzly mood, témoigne de son évolution constante et de sa capacité à réinventer son style au fil des années.

Nouveau single d’Alain Valdés « Confession bloom » :

Alain Valdés : Voix, programmation & guitares additionnelles
Philippe Panel : Basse
Robinson Rouquet : Batterie
Gary Haguenauer : Guitare
Tristan Perrin : Piano
Christophe Fournié : Flûte

Enregistrement & mix Sylvain Philipon Studio Le Stéréodrome
Réalisation Sylvain Philipon / Alain Valdés
Mastering Benjamin Joubert
Illustrations Maxime Maxime
Video-lyrics Vagabond Lune

Pour suivre son actualité et écouter ses morceaux, rendez-vous sur les plateformes de streaming et les réseaux sociaux. Plongez dans son univers et laissez-vous transporter par ses compositions uniques !

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GRIZZLY MOOD – Live Session Le Stéréodrome – ALAIN VALDÉS :

Alain Valdés a bien voulu se prêter au petit jeu de l’Auto-interview :

Comme j’étais pensif au récit rétrospectif d’une auto-interview, coincé au jeu des vérités biographiques, je me suis vu d’un coup de lyre en métamorphosé allergique, tel Narcisse au miroir à sa Vénus impresario :

Nom, prénom ?

« Valdés Alain »

Tu nous racontes un peu ?

« J’habite Perpignan. Ado je perds mon temps à faire de la musique sur des guitares faites maison, sans cordes, sans que jamais me vienne l’idée d’en mettre… Depuis je me suis exercé à la composition dans diverses formations puis stop. »

Stop ?

« Oui, auto stop… Je voulais faire de la musique, réunir des musiciens, mais à la condition de sortir mes projets solo. Je donne aujourd’hui la priorité au dernier en date « Grizzly mood ». En attendant le prochain, rapidement. »

Et alors le prochain ?

De là, et sans attendre de savoir si elle voulait aussi ma photo, puisque maintenant j’avais la sienne, ni vu ni connu, tel qu’en moi même, je lui confessais un dernier mot. « À suivre… »

Merci Alain pour cet effort et de nous avoir permis de plonger dans ta réflexion si personnelle. Dans ton auto-interview, tu nous partages un moment où tu te retrouves à revisiter ton vécu avec une honnêteté touchante. Coincé dans ce jeu des vérités biographiques, tu te sens presque « allergique » à l’idée de te dévoiler, comme si ce processus d’introspection était à la fois nécessaire et dérangeant. En te comparant à Narcisse face à son propre reflet, tu nous montres cette lutte entre l’attirance et le rejet de ton image, une quête difficile mais essentielle pour mieux te comprendre. Merci encore pour ta sincérité et ta volonté d’aller au fond de toi-même.

Bonne continuation. 🙂

Jean-Luc Admin Mazik mars 2025©