Louis Arlette s’élève avec le mystique Ganesha sur l’album Maestà

Louis Arlette - GANESHA Maestà

Louis Arlette s’élève avec le mystique Ganesha sur l’album Maestà déjà disponible sur toutes les plateformes dont Spotify.

Maestà

Le musicien Louis Arlette se réinvente avec Maestà, un album instrumental qui marque une nouvelle mue pour cet artiste protéiforme. Disponible sur toutes les plateformes, cet opus audacieux explore de nouveaux territoires sonores, privilégiant l’efficacité d’une formule en trio : machines, basse et guitare s’unissent pour produire des grooves efficaces contrastant avec des beats tranchants et incisifs.

Toujours fasciné par l’univers du son et des consoles, Louis Arlette navigue en eaux claires entre rock, groove, library music, indus et electro. Sa vision musicale, moderne, est intimement reliée à l’histoire et aux civilisations. C’est là que son parcours prend tout son sens : après des collaborations remarquées (AIR, Jean-Paul Goude), l’artiste, qui a intégré la prestigieuse École du Louvre, continue de mêler sa passion pour les beaux-arts à sa musique.

C’est cette double culture qui donne naissance au nouveau single, « Ganesha ». En plongeant avec ferveur dans les récits sacrés de l’hindouisme, Louis Arlette en extrait une jubilation moderne et un enchantement neuf. Le clip associé, hypnotique et élégant, est une véritable offrande pop à la divinité à tête d’éléphant. Né d’un souffle sacré et réinventé par un rythme électronique imparable, « Ganesha » est un voyage visuel et sonore qui confirme l’ambition et la créativité infinie de Louis Arlette.

Le nouvel extrait s’appelle Ganesha, dédié au dieu à tête d’éléphant. Tout est né au cœur du temple Sri Manicka Vinayakar Alayam, à Paris, lors du festival Ganesha qui a embrasé la capitale du 24 au 31 août.

De cette immersion fulgurante dans les couleurs, les parfums et les chants dédiés à Ganesha est sortie une idée folle : célébrer la divinité la plus bienveillante de l’hindouisme par un clip totalement halluciné : une vidéo déjantée, peuplée de danseurs à quatre bras, en apesanteur rituelle sur une musique électronique au groove irrésistible.

Voici le clip de Ganesha à découvrir sur Youtube :

Réalisé et monté par Louis Arlette

Mise en scène : Fabien Deljehier

Filmé au studio Wildbee

Danseurs : Presher Blue et Momo Bellance

Basse : Christophe Borilla

Guitare : Jocelyn Dupuis

Caméra / prod executive : Fabien Deljehier

Instagram | Youtube

Der Oscar Effekt dévoile three stone fireside vol. 1

Der Oscar Effekt

Avec son nouvel album three stone fireside, vol. 1, Der Oscar Effekt continue de tracer une voie singulière dans le paysage musical contemporain : hybride, sensible et profondément enracinée dans les sonorités qui ont marqué son histoire personnelle. Parmi les titres qui composent ce premier volume, un morceau retient immédiatement l’attention. Il s’agit de “maladie difficile à soigner”, une chanson en français qui occupe une place centrale dans la vision de l’artiste.

Derrière ce choix linguistique, loin d’être anodin, se trouve un acte assumé de mémoire et de transmission. Der Oscar Effekt confie avoir puisé l’inspiration dans une œuvre majeure de la musique camerounaise :

« maladie difficile à soigner s’inspire d’un morceau du légendaire groupe camerounais Zangalewa, qui, dans les années 1980, avait sorti une chanson portant le même titre. Je me souviens l’avoir souvent écoutée quand j’étais enfant, parce que ma mère la jouait à la maison. C’était sans doute l’une des premières chansons d’amour que j’ai connues. »

Ce souvenir d’enfance devient le point de départ d’une réinterprétation moderne, intime et vibrante. Le musicien raconte avoir voulu réactualiser l’énergie de ce titre culte pour parler de l’amour contemporain, avec ses contradictions et ses excès.

« Cette vibe m’est restée, et j’ai voulu la réinterpréter à ma manière — en la ramenant dans une époque moderne, pour parler de l’amour d’aujourd’hui, de la façon dont il peut à la fois guérir et blesser. C’est un sentiment si fort qu’il peut parfois ressembler à une maladie… une maladie difficile à soigner. »

Musicalement, Der Oscar Effekt marie sonorités électroniques actuelles, rythmiques dansantes et chaleur organique. Si la production se veut moderne, le titre conserve cependant l’esprit originel : celui d’une chanson que l’on peut vivre autant qu’écouter, entre fête, nostalgie et émotion. La voix navigue entre français, anglais et camfranglais, un choix identitaire qui incarne à lui seul la philosophie du projet : un pont entre héritage et réinvention.

Der Oscar Effekt

L’artiste explique d’ailleurs la place cruciale de ce morceau dans la structure de l’album :

« Une chanson en français n’est pas du tout un hasard dans cet album three stone fireside, vol. 1 — au contraire, elle en représente pleinement l’essence. J’y chante en français, en anglais et en camfranglais, pour parler de l’amour d’une manière sincère, chaleureuse et authentique, tout en puisant dans l’un des repères emblématiques de la musique camerounaise. Sur une production moderne, le titre garde cette énergie qu’on peut danser et ressentir, mais aussi un message profond sur l’amour et la vulnérabilité. »

Dans « maladie difficile à soigner », Der Oscar Effekt semble avoir trouvé un espace où tradition et modernité ne s’opposent pas, mais se renforcent. Le résultat est un hommage vibrant à Zangalewa, à l’amour dans toutes ses nuances, et au Cameroun musical d’hier et d’aujourd’hui. Un titre qui, à l’image de l’album, témoigne d’une maturité artistique nouvelle et d’un désir puissant de raconter, relier et ressentir.

Réseaux sociaux: Facebook | Instagram