Phil Vermont : L’heure du Blues Moderne a Sonné avec « Time Has Come »

Phil Vermont, figure montante de la scène blues-rock, nous présente son premier album « Time Has Come », une œuvre captivante qui mêle l’âme du blues classique et l’énergie brute du rock moderne. Cet album, produit par Neal Black, célèbre l’union entre tradition et modernité, en alliant des influences marquantes comme Joe Bonamassa, Eric Gales et Stevie Ray Vaughan, à des sonorités plus contemporaines.

Phil Vermont

Un Parcours Forgé sur Scène

L’histoire de Phil Vermont débute véritablement en 2018, lorsqu’il est sollicité pour rejoindre un projet de reprises classic rock pour une série de concerts au Havre. Ce groupe, baptisé « Phil Vermont & the Electric Wizards », s’est rapidement fait un nom grâce à son énergie et à son authenticité, ouvrant des opportunités pour Phil en tant qu’artiste solo.

Avant cela, Phil avait déjà acquis une solide expérience en tant que guitariste professionnel, ayant passé plus de 20 ans à jouer dans divers groupes. Désireux de composer ses propres morceaux, il commence à écrire des chansons originales. Le succès de ses premiers concerts lui permet d’évoluer rapidement vers des projets plus personnels.

En 2022, lors d’un concert au Soubock à Cauville, Phil se lie d’amitié avec Neal Black, un bluesman américain reconnu. Cette rencontre marque un tournant : Neal Black l’invite à collaborer sur son premier album, qui prendra la forme de « Time Has Come ». L’alchimie du groupe, renforcée par la présence de musiciens fidèles comme Clément Landais à la basse et Jean Michael Tallet à la batterie, permet à Phil de repousser ses limites artistiques.

Phil Vermont

Une Œuvre Entre Blues Moderne et Rock Classique

Dès les premières notes, « Time Has Come » s’impose comme un album qui transcende les époques. Phil Vermont s’inscrit dans la lignée des grands guitaristes blues, rendant hommage à des légendes telles que Gary Moore et ZZ Top, tout en insufflant un souffle nouveau grâce à des compositions originales et variées. L’artiste, marqué par ses influences, fait le pont entre le blues roots et le classic rock, tout en y intégrant une approche résolument moderne.

Une Collaboration Fructueuse avec Neal Black

Le producteur Neal Black, icône du blues américain, a été séduit par le jeu de guitare de Phil et a proposé de travailler ensemble. Ce partenariat a donné naissance à un album puissant, où Black prête sa guitare sur trois morceaux. Phil raconte avec enthousiasme la fluidité de leur collaboration, fruit d’une affinité musicale et humaine : « Nous avons travaillé à distance jusqu’aux sessions studio, et dès le début, tout s’est fait de manière très naturelle. »

Un Hommage à Peter Green et une Énergie Live Incomparable

L’un des moments forts de l’album est la reprise vibrante de « Tribal Dance », en hommage à Peter Green, une légende du blues britannique. Cette version, captée lors d’une première prise, reflète toute l’énergie brute de Phil Vermont, fidèle à son style basé sur des performances live intenses.

Enregistré en prise directe, avec une section rythmique enregistrée live, « Time Has Come » capture parfaitement l’essence des concerts de Phil Vermont, apportant une vitalité palpable à chaque morceau.

Un Avenir Prometteur

Avec la sortie de « Time Has Come », Phil Vermont est prêt à conquérir la scène internationale. Grâce à une distribution par le label Dixiefrog et des collaborations prestigieuses, son parcours prend une nouvelle dimension. En parallèle, le groupe s’enrichit avec de nouvelles formations, intégrant notamment des cuivres et des harmonicas pour des performances encore plus grandioses.

Phil Vermont s’impose comme une voix incontournable du blues moderne, avec un premier album qui reflète toute sa passion et sa maîtrise du genre.

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Kaori s’envole avec son 3ème album Dans l’attente d’un signe

KAORI-Dans l'attente d'un signe-

Kaori a sorti son troisième album Dans l’attente d’un signe, à découvrir sur toutes les plateformes digitales et avec le premier extrait Ma belle îlienne, et son clip officiel.

Kaori, c’est une merveille de songwriting à la guitare. Alexis Diawari et Thierry Folcher jouent un mélange subtil de reggae, de blues rock, de bossa, de chanson française, des textes engagés sur la liberté, la tolérance, la dignité humaine, une ode à la vie comme la douceur d’un poème.

On adore leur nouvel album Dans l’attente d’un signe, qui est un cocktail musical océanique très réussi. Une musique bien équilibrée avec de très belles mélodies et de beaux textes. Un peu blues, un peu pop, un peu chanson française.

Voilà 11 titres comme autant de plages ensoleillées où il fera bon se laisser porter par les ondulations d’une houle océanienne, un ressac de reggae revisité ou un shuffle évocateur des atmosphères bluesy.

Les deux artistes, dont la moyenne d’âge frôle la soixantaine, ont choisi l’image du kaori, arbre millénaire qui peuple les forêts du Caillou, comme belle métaphore pour parler de leurs profondes racines aux passés multiples, soucieux de déployer aujourd’hui leurs branches bien au-delà de l’Archipel.

Ils sont deux visages de leur Nouvelle-Calédonie natale. Thierry Folcher, calédonien de Poindimié descendant du bagne, et Alexis Diawari, originaire d’un clan kanak de Canala, donnent corps et voix à ce possible destin commun.

En tentant leur chance en France, les deux optimistes ont rencontré Lionel Gaillardin, réalisateur et arrangeur du studio Bonsai. Dans ce petit espace d’enregistrement, Kaori succède à Henri Salvador, à Benjamin Biolay, à Karen Ann ou encore à Didier Wampas…

Voilà un duo calédonien qui crée avec talent une musique habitée de leurs parcours de vie, riches et variés… Le niveau de professionnalisme intrigue.

Découvrez le clip de Ma Belle îlienne :

A ne pas rater le 14/11 au Sunset à Paris et sur leur site officiel

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