Marie Espinosa a besoin d’être consolée ! La chanteuse et compositrice annonce son grand retour discographique avec La Pleureuse, un premier single doux et caressant, qui prend à la gorge, seize ans après la sortie de son album La Démarrante à redécouvrir.
Musicienne hors pair, elle passe sans transition de la guitare au piano, abordant à sa guise des chansons aux paroles sur les femmes d’aujourd’hui ou une balade pop à la Gainsbourg. La Pleureuse annonce sont grand retour avec un EP prévu en 2026 et arrangé par Benjamin Biolay et Tristan Salvati (Angèle, Louane, Hoshi…) …
Entre la voix, les textes et les musiques, une subtile alchimie de tenue, de classe, de chaleur et de simplicité. A découvrir si vous aimez Françoise Hardy, Pauline Croze, Keren Ann…
Découvrez le clip de La Pleureuse sur Youtube :
« Je préfère pleurer de toi
Que rire avec un autre
Je préfère rêver de toi
Que vivre avec un autre
Salut c’est moi
la veilleuse
L’amoureuse
Ta beauté….«
Extrait des paroles de La Pleureuse
Paroles & musique : Marie Espinosa
Pour ce nouvel opus, Marie Espinosa s’est enfermé dans sa chambre, embrassant sa guitare, caressant son piano et « accouchant » enfin d’une douzaine de chansons, bande originale de ces dernières années.
Son univers musical est souvent décrit comme poétique et introspectif, explorant des thèmes personnels et universels tels que l’amour, la mélancolie et l’espoir.
Benjamin Biolay a accepté de réaliser et d’arranger plusieurs de ses chansons. Il a fait des programmations et joué des claviers enregistrés au Studio de la Seine. La réalisation du reste des musiques a été confiée à Tristan Salvati (Angèle, Louane, Hoshi…).
De grands musiciens l’accompagnent comme Jean-Max Mery au clavier, Philippe Almosnino à la guitare, Régis Ceccarelli à la batterie, Alain Lanty au piano et Max Darmon à la basse.
La Pleureuse annonce un prochain EP enregistré par l’ingénieur du son Marc Portheau au Studio de la Seine, masterisé par Alex Gopher au Studio Translab.
La pochette de l’album est réalisée par le photographe et graphiste Yann Orhan. Une solide équipe pour accompagner la suite de Marie Espinosa, qui revient enfin dans la lumière et nous a beaucoup manqué.
Originaires du Sud-Ouest de la France, The Deweys (ne pas confondre avec le groupe de surf rock instrumental du même nom, formé par des membres de la famille Dewey basée en Californie.) se sont forgé une identité musicale singulière, entre rock, folk et blues teintés de mysticisme.
Avec deux guitares et un harmonica comme socle, le trio réinvente des standards tout en cultivant une esthétique qu’ils définissent comme du western gothique.
Cette approche évoque autant les ambiances des juke-joints du Mississippi que les paysages désertiques des westerns.
Dès leur premier EP Silence as a friend en 2020, les musiciens palois imposaient une atmosphère intimiste et minimaliste, laissant une large place aux silences et aux respirations. Un disque qui dévoilait déjà leur goût pour les climats habités et la lenteur expressive.
Vers de nouvelles dimensions orchestrales
Avec Windwalker, prévu pour le 31 octobre 2025, The Deweys franchissent une étape décisive. Toujours fidèles à leur ADN artisanal et mélancolique, ils enrichissent leur palette sonore grâce à des collaborations inédites.
L’album, parfois proche de l’univers de Calexico, profite des arrangements de Nathalie Biarnés, qui a conçu un écrin de cordes pour sublimer leurs compositions.
Le projet s’élargit avec le Black Cat Orchestra, un quatuor à cordes qui apporte une profondeur cinématographique. La chanteuse et violoncelliste Leelou, remarquée sur la scène nationale, apporte sa voix singulière et ses nuances sombres. Le violoniste Gaël, membre du Philharmonique de Pau, insuffle quant à lui une tension classique qui dialogue avec l’univers rugueux du trio.
The Deweys : Une quête artistique en mouvement
Plus qu’un simple disque, Windwalker se présente comme une traversée. À la croisée de Robert Johnson et de 16 Horsepower, The Deweys continuent d’explorer l’ombre et la lumière, tout en donnant à leur musique une dimension presque spirituelle. Loin de chercher l’aboutissement, le groupe privilégie le voyage, avec ses détours et ses visions.
L’album promet d’élargir encore la portée de leur esthétique, oscillant entre dépouillement et richesse orchestrale, pour offrir une expérience sonore à la fois roots, sombre et envoûtante.
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