« Not Scared of Giants »: Kovacs revient avec un hymne puissant

 

Artiste protéiforme, Kovacs subjugue par son univers aussi fascinant que magnétique. Diffusant son  art  aussi  bien  dans  la  mode  que   dans  la musique,  la  chanteuse  néerlandaise revient aujourd’hui nous enchanter de sa délicieuse voix soul avec Not Scared Of Giants,  un nouveau single  aux arrangements  classieux  et obsédants, parfait préambule pour son prochain album à paraître très bientôt !

La musique est un exutoire pour Sharon Kovacs : « Quand le covid a enlevé l’opportunité d’être sur scène  il y a  de ça deux ans,  j’ai dû faire  face à mes démons  présents dans ma tête.  Mon nouveau  single   ‘Not  Scared of Giants’   raconte  ce  moment  d’introspection,   cette  analyse profonde qui m’a permis surmonter mes doutes et mes sentiments d’insécurité.

« En grandissant, j’avais peur des géants. De nos jours, les monstres dans  ma tête  sont  la  seule chose qui  me  garde  éveillé.  Pour  le  clip,  nous  avons trouvé  un  beau  Palais  à  Lisbonne  qui appartenait à un duc. Jouer dans ce décor incroyable et chanter avec des enfants m’ont  procuré une joie immense, conférant à la vidéo une dimension presque  magique.  Nous  avons ainsi crée un monde où « grandir » n’existe pas. Un monde où  vous  vous  réveillez entouré d’humains qui vous ressemblent. »


A PROPOS DE KOVACS

Kovacs revient avec "Not Scared of Giants" un hymne puissant

L’incroyable énigme Kovacs est prête à proposer de nouvelles musiques au monde ! Sa carrière s’est étendue pour embrasser l’art, la haute couture, culture, et elle intègre ces influences à ses histoires personnelles en montagne russe pour créer un exubérant album technicolor de joie et de douleur.

L’artiste néerlandaise Sharon Kovacs fait de la musique depuis son plus jeune âge, inspirée par des chanteuses comme Betty Davis,  Etta James et Tina Turner.  En 2014, elle sort son premier EP ‘My Love’. Le succès a suivi avec les singles « My Love » et « Diggin » ainsi qu’avec son premier album « Shades Of Black »,  qui a été  classé  dans 36 pays,  a atteint  le  Top 10  en  Allemagne  et a été numéro 1  dans  son  pays natal  les  Pays Bas.  Soixante  millions  de vues YouTube,  un contrat de mannequin avec Viva Paris, une couvée de prix, une grande popularité dans d’importants festivals et après, des premières parties de Robbie Williams. Elle a aussi gagné le prestigieux EBBA award et a performé dans des festivals tels que Glastonbury et Sziget.

Animal Triste dévoile son côté sombre avec « Afterlife »!

Avec Afterlife, le soleil noir de l’album « Night of the Loving Dead », Animal Triste poursuit l’exploration de son bestiaire électrique.

Ce soir, c’est pleine lune.


A PROPOS D’ANIMAL TRISTE

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

Si l’animal est triste, il continue à danser, même dans le noir avec Afterlife ! Cette hydre à six têtes, émanation des  groupes  rouennais  La Maison Tellier et Darko réhabilite un rock totalement organique et électrique, racé et mélodique, parfois sombre mais qui ne sombre jamais dans la déprime.  Un rock intemporel, sans artifices, qui se frotte aux  fantômes du  passé  avec une  sincérité totale et un réel talent.

Animal Triste réunit Yannick Marais (chanteur de La Maison Tellier), Sebastien Miel (La Maison Tellier),  Mathieu Pigné (Radiosofa, Darko), Fabien Senay (Radiosofa),  David  Faisques (Darko) et Cedrick Kerbache (Dallas).


NOUVEL ALBUM DISPONIBLE

NIGHT OF THE LOVING DEAD

Animal Triste dévoile son côté sombre avec "Afterlife"!

« Le rock ne compte pas ses morts, il relève les blessés. Animal Triste est l’un d’eux, rescapé d’une guerre abrasive de  basse intensité,  comme si les  larsens faisaient  figure de derniers Mohicans. Reste l’énergie, l’envie – en vie.

Dans ce  nouvel album,  « Night of the loving dead »,  enregistré  dans la  pampa normande, on retrouve les références chères au groupe,  Nick Cave,  Sixteen Horsepower  ou The Black Angels, et surtout la collaboration spontanée de Peter Hayes  (Black Rebel Motorcycle Club), venu prêter ses guitares nocturnes.

Animal  Triste  certes,  on  comprend à l’écoute  « Night of the Loving Dead » que  l’époque n’est pas au rose-bonbon,  mais  la joie noire du rock perce la brume, à coups de voix  et  de sons   organiques,   trempés   dans  l’acide  ou lancinants,  toujours  sur  le  fil.   Du   vintage d’aujourd’hui, sûr que l’idée de combustion explosera sur scène. On y sera – pourvu que ça brûle.»

– Caryl Ferey