Logicaltramp à Paris Salle Pleyel le 18/11/2023 pour un concert hommage à Supertramp

Logicaltramp à Paris Salle Pleyel le 18/11/2023 pour un concert hommage à Supertramp. On vous présente le groupe et on vous donne le lien de billetterie sur Mazik.

Logicaltramp, le show tribute à Supertramp à la Salle Pleyel le 18/11
Logicaltramp, le show tribute à Supertramp à la Salle Pleyel le 18/11

Célèbre pour son rock progressif, Supertramp s’est aussi illustré dans un registre plus léger et mélodieux.

Avec leurs titres « Dreamer », « The logical song » ou encore « It’s Raining Again », le groupe londonien s’est offert quelques gros succès dès le milieu des années 70.

Supertramp, c’est d’abord la rencontre dans un club londonien entre un millionnaire néerlandais, Stanley August Miesegaes, et le chanteur et pianiste Richard Davies, habitué à jouer avec des groupes instrumentaux de la trempe de The Shadows.

Richard Davies et Roger Hodgson sont les uniques rescapés de la formation. Ils recrutent alors le saxophoniste John Helliwell, adepte de la musique de John Coltrane, le bassiste Dougie Thomson, également ex membre de l’Alan Bown Set, et Bob C. Ben berg transfuge du groupe Bees Make Honey.

En 1974, c’est la résurrection.

Le groupe sort, avec un succès encore jamais atteint, « Crime Of The Century » qui s’appuie en particulier sur les claviers et le jazz. « Dreamer » ou encore « School » deviennent des tubes. « Crisis ? What crisis » sort l’année suivante mais ne connaît pas le même succès.

Il faut attendre le titre « Give a Little Bit », extrait de l’album « Even in the Quietest Moments », pour que les ventes redécollent. « Fool’s Ouverture », autre morceau du disque, est, lui, considéré comme l’une des plus grandes réussites du groupe.

Nous sommes en 1979, Supertramp enregistre le très pop « Breakfast in America », dont il se vend plus de vingt millions d’exemplaires. Les extraits « The Logical Song » et « Take the Long Way Home » assureront un large succès au groupe.

Logicaltramp à ne pas rater le 18/11 à Paris Salle Pleyel
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Après « Paris » en 1980 et une tournée mondiale deux ans plus tard, la formation revient avec « Famous Last World », toujours en 1982. Un disque qui marque le déclin de Supertramp et le départ de Roger Hodgson, qui n’apprécie pas le virage rythm and blues. Richard Davies se retrouve donc seul aux commandes de la formation.

Inévitablement, les deux albums suivants « Brothers Where You Bound » (1985) et « Free As A Bird » (1987) affichent une baisse des ventes et de qualité qui entraîne la fin du groupe.

Prenez votre place à la Salle Pleyel le 18/11/2023 ici

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Nine Skies sort « The Lightmaker », une Ode à la Résilience dans l’Art Musical

L’excellent groupe français de rock progressif Nine Skies vient de sortir son nouvel album, le tant attendu  « The Lightmaker » qui est bien plus qu’une simple création musicale. C’est un véritable témoignage de résilience, un hommage émouvant au regretté Éric Bouillette, et une exploration profonde de la condition humaine à travers la vie complexe de Rudy.

Une expérience auditive qui mérite d’être découverte et redécouverte, cet album promet d’occuper une place de choix parmi les incontournables de l’année pour les amateurs de musique progressive.

The Lightmaker

L’Épopée de « The Lightmaker »:

Les dernières années ont été marquées par bien des malheurs, une pandémie mondiale, un conflit armé sur notre continent, des vagues migratoires…, autant de défis qui mettent en lumière la résilience de l’humanité. Cependant, depuis des temps immémoriaux, les individus et les collectivités ont toujours fait face à des épreuves, s’adaptant aux difficultés et aux changements. La création artistique, profondément ancrée dans l’essence humaine, est inévitablement influencée par de telles épreuves. L’histoire de la musique est témoin de la variété des réponses, allant de la dissolution à la renaissance, en passant par toutes les nuances entre ces extrêmes. Dans ce contexte, la sortie de l’album « The Lightmaker » par le groupe Nine Skies, après la tragique perte du talentueux Éric Bouillette, incarne parfaitement la résilience dans le monde de la musique. « The Show Must Go On » comme disait Freddie

La Résilience de Nine Skies

L’exemple donné par Nine Skies va au-delà de la simple résilience. Non seulement le groupe nous livre son quatrième album studio, mais il le fait seulement deux ans après l’excellent « 5.20« . Ce rythme de production régulier est une constante depuis les débuts du groupe. Ce qui est encore plus impressionnant, c’est la qualité musicale constante qu’ils offrent. Cette capacité à créer de la musique de qualité en période difficile montre comment l’émotion peut être une source d’inspiration puissante.

L’Histoire d’un Personnage

Nine Skies nous plonge dans l’histoire captivante de Rudy, au cœur de l’album concept « The Lightmaker ». Rudy vit sa 1001e et dernière vie, explorant différentes existences à travers divers personnages. Les paroles d’Anne-Claire Rallo explorent les expériences de Rudy et invitent à une réflexion profonde sur la condition humaine. Chacune de ces vies est incarnée par un chanteur différent, ce qui ajoute une dimension intéressante à l’album. Malgré cette diversité, l’empreinte distinctive de Nine Skies demeure indéniable.

L’Adaptation Créative

Éric Bouillette et Alexandre Lamia étaient les principaux créateurs musicaux du groupe, ce qui a nécessité une adaptation créative après la perte d’Éric. « The Lightmaker » est chaleureusement dédié à sa mémoire, rappelant que l’amour, l’amitié et la résilience peuvent propulser Nine Skies vers l’avenir.

Eric Bouillette : The Lightmaker

Alexandre Lamia a créé l’ébauche des morceaux, sur laquelle les autres membres du groupe ont brodé leurs notes. Les échanges fructueux ont permis à ces huit compositions de prendre forme, enrichies par la contribution de talentueux invités. Cet album est le résultat d’un travail d’équipe, démontrant la solidarité au sein du groupe.

Exploration Musicale

L’odyssée de Rudy commence par l’instrumental délicat et aérien « An Fanai ». Cette pièce prépare le terrain pour le reste de l’album, avec une reprise en anglais plus tard dans « The Wanderer », où une cinquantaine de voix se rassemblent pour saluer l’aventurier. « The Explorer » suit naturellement cette introduction, emmenant l’auditeur dans un voyage musical. Les variations de tempo, accompagnées de la voix envoûtante de Riccardo Romano, font de cette pièce un véritable joyau.

Le Rêve Devient Réalité

La voix puissante de Martin Wilson, les orchestrations ingénieuses et un solo de guitare sublime d’Alexandre Lamia transportent l’auditeur dans un rêve devenu réalité. Le solo de guitare, directement inspiré par Éric Bouillette, est un exemple de virtuosité mélodique. « The Dreamer » est un morceau anthologique et un favori de cet album.

Le Chaos et la Puissance

Le ton change radicalement avec « The Chaotic », commençant sur les chapeaux de roues avec une guitare déchaînée et une rythmique percutante. La voix métamorphosée d’Arnaud Quevedo s’adapte au chaos, tandis que Laura Piazzai apporte une touche de calme. Le solo de synthétiseur d’Adam Holzman apporte une structure, avant de plonger à nouveau dans le désordre. Ce morceau rappelle le style audacieux de certains classiques du rock progressif.

The Lightmaker

Exploration de la Voix et du Mystère

La voix grave de Kristoffer Gildenlöw et la musique, d’abord calme puis légèrement inquiétante, introduisent « The Lost », une incarnation troublante de Rudy. La montée en puissance, avec la basse de l’invité Johnny Marter, la batterie de ce nouveau venu et la guitare, accentue le côté mystérieux, créant des moments puissants et intenses.

L’Âme Tourmentée

Charlie Bramald incarne l’âme tourmentée de Rudy dans « The Haunted ». La musique, atmosphérique et subtile, nous emporte dans un voyage émotionnel. Vers la fin, une guitare sèche apporte une nouvelle dimension, permettant à Charlie Bramald de partager ses pensées les plus profondes.

Conclusion Musicale et Réflexions

« The Architect » conclut l’album en apothéose musicale, reprenant là où l’incarnation précédente de Rudy l’avait laissée. Les réflexions sur le passé et l’avenir se rejoignent. Les talents musicaux d’Achraf El Asraoui, Marco Minnemann et John Mitchell apportent une touche finale époustouflante à cet opus.

Une Expérience d’Écoute Enrichissante

L’album « The Lightmaker » de Nine Skies offre une expérience d’écoute enrichissante, devenant encore meilleure à chaque écoute. Il est susceptible de figurer parmi les meilleurs albums de l’année pour de nombreux amateurs de musique, grâce à son mélange captivant de créativité, d’émotion et de virtuosité.

Infos pratiques sur « The Lightmaker »

Date de Sortie : 18 septembre 2023,
Mixage et Masterisation : Alexandre Lamia,
Pays : France/Royaume-Uni,
Label : Independent Creative Media Producer,
Illustration : Anne-Claire Rallo, Alexandre Lamia & Steve Anderson,
Paroles : Anne-Claire Rallo

Tracklist

Intro : An Fánai (2:38)
The Explorer (6:08)
The Dreamer (8:01)
The Chaotic (7:18)
The Lost (9:12)
Interlude : The Wanderer (1:27)
The Haunted (11:25)
The Architect (11:18)
Durée totale : 57’32

Membres de Nine Skies

Alexandre Lamia : Guitares, piano
Anne-Claire Rallo : Claviers
David Darnaud : Guitares
Alexis Bietti : Basse
Johnny Marter : Batterie
Achraf El Asraoui : Chant sur « The Architect »

Artistes Invités
Riccardo Romano : Chant sur « The Explorer »
Martin Wilson : Chant sur « The Dreamer »
Adam Holzman : Claviers sur « The Chaotic »
Arnaud Quevedo & Laura Piazzai : Chant sur « The Chaotic »
Kristoffer Gildenlöw : Chant & Basse sur « The Lost »
Charlie Bramald : Chant sur « The Haunted »
Marco Minnemann : Batterie sur « The Architect »
John Mitchell : Solo de guitare sur « The Architect »

Discographie de Nine Skies

2017 – Return Home
2018 – Return Home ‘Special Edition’
2019 – Sweetheart Grips
2021 – Live @ PeB
2021 – 5.20
2022 – 5.20 ‘Special Edition’
2023 – The Lightmaker

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